De la réalité à la fiction

  Forton ne fut pas un élève modèle, à l’image des jeunes garçons qu’on voit dans ses romans. En bon "cancre militant, très attiré par les fripouilles", comme il le dit lui-même, il a dû changer plusieurs fois d’établissements, fréquentant au passage de célèbres institutions bordelaises dont on retrouve bien le climat dans Le Grand Mal ou L’Épingle du jeu.